Figure majeure de la scène brésilienne, DJ Mam mêle musiques autochtones et sons électro urbains.

Dimanche 9 novembre à 17h

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Dix interprètes, portés par l’esprit d’ouverture d’Édouard Glissant, invitent à repenser notre manière d’être au monde : ensemble.

Cinq danseurs s’inspirent de la force des oeuvres de la galerie Marc Ladreit de Lacharrière et de leurs « Auras », enveloppes translucides imaginées par Jean Nouvel. Leurs gestes dialoguent avec les masques et statuettes, portés par la voix du contre-ténor Serge Kakudji mêlant opéra et chants swahili.

Venus du Maroc, de Tunisie, d’Égypte, du Burkina Faso et de France, des danseurs composent une mosaïque de trajectoires réunies dans une pulsation énergique et collective, tout en dévoilant des réalités plus rugueuses.

Mené par le musicien portugais HHY et la trompettiste ougandaise Florence Nandawula, ce concert mêle dub, percussions et cuivres dans une transe cinématographique aux textures électroniques et rythmiques mutantes.

Quand l’énergie brute des percussions d’Arsenal Mikebe rencontre la poésie sonore de Shabaka, figure majeure du jazz contemporain.

Héritier flamboyant de Fela Kuti et artiste à part entière, Femi Kuti incarne un afrobeat incandescent, mêlant puissance rythmique et engagement politique.

À l'invitation du musée, Reddy Amisi, figure incontournable de la rumba congolaise, répond présent et célèbre son mentor, Papa Wemba.

Artiste visuel et musicien, mais aussi styliste et mannequin, Baloji brouille les frontières entre image et son, réel et imaginaire. Vêtu avec une rare élégance, il déploie sur scène un univers éclatant et atypique, mêlant hip-hop, afrobeat, électro, rumba congolaise et costumes expressifs.